Event : King's Game

L'ambulance était finalement arrivée, embarquant les blessés, ils pouvaient donc être sauvés, tant mieux, des morts inutiles n'était vraiment pas ce dont on avait besoin pour le moment.

A minuit tout le monde sembla regarder son portable, n'ayant pas le mien, je rejoignis Kazemaru et tirai sur sa manche pour attirer son attention, avant de lui demander directement:

"C'est bien l'ordre suivant? Si oui, que dit-il?"

L'ordre a été exécuté. Qu'est-ce que ça veux dire ? C'est idiot, Ouma et Touko sont partis en ambulance ... Pas en poney ! Et s'il était mort en chemin ? Et si ...

Je m'en veux d'avoir levé le ton avec Emy. Je suis sur les nerfs, comme tout le monde, voilà tout ! Puis, alors qu'on ne profite pas du tout de notre paix, inquiets pour nos camarades de classe, minuit arrive bien vite, avec le message du Roi. Tout nos téléphones vibres, comme tout les soirs, mais nous ne le lirons pas seuls cette fois. Endou m'interroge. Cette journée de fou a du le convaincre de faire attention aux textos, même sans avoir son propre téléphone à portée de main ...

Sauf que l'ordre me heurte le visage comme si quelqu'un venait de m'envoyer un galet. Mes craintes deviennent vraies, alors que même d'ici j'entendrais presque le coeur des autres soupirer ; Cette fois, c'est mon nom qui est écrit. Et, il ne s'agit pas de m'ordonner de toucher la poitrine de quelqu'un ...

« L'élève numéro huit, Kazemaru Ichirouta ... » Mes lèvres laissent tomber les mots que je lis avec quelques tremblotements, le temps que je comprenne ce qui va m'arriver. « ... Doit filmer deux élèves de la classe entrain d'avoir un rapport sexuel. »

Je crois que mon estomac c'est retourné. Cette ordre est carrément glauque. Et je n'imagine pas qui que ce soit m'aider. Laissant mon téléphone là où j'étais, je me retire avec un air presque maladif et dans le silence, sans adresser un seul regard à qui ou quoi que ce soit.

C'est la fin de la journée. C'est le moment où on aurait du savoir si l'ordre avait été effectuer ou pas. Et savoir le nouvel ordre... Sauf que moi, je ne pouvais pas... J'avais peur... Trop peur... Et... Et si c'était mon nom qui était inscrit sur le sms cette fois ci ? Ma curiosité l'emporta, et je me levais. Ramassant les débris de mon portable. ( On sait jamais ce qui pouvait se passer.) Et je me dirigeais vers le collège. Encore tremblant et les yeux rouges d'avoir pleurer. ( Ce que je n'avouerais pour rien au monde). J'ouvris la porte de la classe et je demandais d'une voix blanche.

- Excusez moi... Quelqu'un pourrait m'indiquer le nouvel ordre du roi....S'il vous plait ?

En serrant les morceaux de telephone contre ma paume, j'attendis, priant que mon nom n'y soit pas.

J'avais lu le SMS, sa ne pouvais pas être vrai ! je me donna une gifle et je vie que c'était la vérité. Kaze' était sortis de la salle. Je voulais l'aidé mais comment faire ? Je ne sort avec personne ... Kogure arrive et nous demanda l'ordre je me rapprocha de lui et lui dit :

-Le prochaine ordre et pour Kaze'. Il dois filmer de personne deux la classe entrain d'avoir un rapport sexuel ...

A mes mots je me sentis mal mais pourquoi !? Je décida de suivre Kaze'. Je lui attrapa le bras mais j'avais la tête basse. Je voulais tant l'aidé même si je devais souffrir ... Je commencez a ouvrir la bouche mais aucun mot ne sortit. Je trembler un peu. Je décida dans faire qu'a ma tête et je lui dit :

-Kaze' ! Je veux t'aidé !

Une fois c'est mots sorti je rougit un peu. Je lui sera la main et attendit une réponse de sa par.

Le corps que je tenais disparaissait de mes bras pour être amené je ne sais ou. Avec le type en blanc qui est entré dans la salle, je suppose que c'est pour tenter de le sauver. Si ça pouvait se faire réellement... Si lui et la fille pouvaient nous revenir en vie. Comme si rien ne s’était déroulé.

Je partis me réfugier dans le couloir. Je ne me sentais vraiment pas à mon aise dans cette classe dont les murs étaient recouverts par ce liquide de vie, ce liquide de mort. Et surtout du souvenir de ces atrocités. A en donner la nausée. Ce n'est d'ailleurs pas comme si j'avais déjà tout rendu ce que je n'avais pas. Mon estomac sonnait vraiment creux, hurlait famine. Mais qu'importe. Je m'en moquait. La douleur de ce qui s'est déroulé est bien plus vive.

Vibration dans ma poche de jupe. La journée n'est pas... Non, ne me dites pas que... Ma main tremble. Je m'empare de l'appareil. Je lis le message qui est inscrit sur l’écran. Je m'effondre. Sans m'en rendre compte. Le bruit de mes genoux percutant le sol résonne dans tout le couloir vide. Mais je ne l'entends pas. Mon esprit se concentre uniquement sur ce qu'il lit. Et me quitte. Des larmes naissent au coin de mes yeux.

Non... Non... NON ! Ça ne peut pas être vrai... C'EST FAUX ! Si l'ordre est exécuté, ça veut donc dire qu'il est... NON !

Les minutes passent. La lune commence à être haute dans le ciel. Je finis par me ressaisir. Et cours à en perdre haleine. Quittant le bâtiment, me précipitant dans la rue, retrouvant mon chemin je ne sais comment jusqu'à la bâtisse ou je me suis réveillée. Stoppant finalement ma course en face de la porte d’entrée.

Je reprends mon souffle comme je le peux. Avec beaucoup de difficulté. Et tout doucement. Mais je réussi finalement à me calmer... Un peu... Avant de passer le porche d’entrée. Et de refermer à ma suite.

Silence. Lourd. Comme insupportable. Juste le son de la télé que je n'ai pas éteinte en sortant.
Aussi silencieuse que celui qui règne dans cette maison, je monte à l’étage. Dans la chambre ou le jeu vidéo est encore en fonctionnement. Je pose un regard vide de toute expression quelque secondes sur l'ensemble video. Avant d’éteindre le tout. Et d'aller me réfugier dans les couvertures de celui qui ne pouvait échapper à ce destin. Funeste.

Minuit. Vibration de cet objet maudit. Je le prends en main. Et regarde l'ordre. A nouveau une belle connerie. Mais au moins, c’était réalisable par ce dénommé Kazemaru. Il pouvait encore s'en sortir s'il s'y prenait bien. Pourquoi ? Pourquoi...? Pourquoi...

Lâchant le téléphone contre le sol, je sentis le sommeil prendre peu à peu le pas sur mon esprit.
Rempli de cauchemars. D'agitation paniquée.
Que ce jeu stupide cesse.
Je vous en prie.

Ce matin, alors que je me levais, je pris mon portable pour voir ce que demandait le nouvel ordre, et à qui il le demandait. Je fus très surprise quand je vis l'ordre.

"Ordre n°5 : L'élève numéro 8, Kazemaru Ichirouta, doit filmer deux élèves de la classe entrain d'avoir une relation sexuelle. "

Je fus très contente de voir que cet ordre n'avais pas de rapport direct avec moi, et que je n'étais pas obliger d'y participer. Mais pourtant, dans ma tête, quand je vis que l'ordre était adressé à Kazemaru, une des personnes qui m'avaient aidées quand j'en avais besoin, je fis tout de suite le choix de l'aider, peu importe ce que je devrais faire pour cela. J'étais même prête à avoir une relation pour lui permettre de survivre. Je me demandais si Kazemaru allait demander mon aide ou non.

-Le prochaine ordre et pour Kaze'. Il dois filmer deux personne de la classe entrain d'avoir un rapport sexuel ...

NOM D'UN CHILI.... Vous voyez que je peux avoir des réactions intelligentes quand je veux ! Enfin bref, en tout cas c'était pas pour moi... Mais pour Kazemaru, un de mes anciens coéquipiers... Je marchais vers ma place pour m'assoir et reflechir, quand je vis une trace de sang...

"- Il s'est passer quoi là ?"

Morts?... Non...Non...C'était pas...Comment?
En lisant le message, et en regardant les informations dans les journeaux qui confirmait tout ce qu'il y avait d'écrit je m'étais effondré.

Non, c'était pas possible! Merde!
"Merde!!!!!!"

Après tout ce qu'on avait donné pour les sauver, après tout ça. Après avoir réussit à faire venir une ambulance. Ils étaient finalement morts, comme ça?
Je riais presque tellement s'en était ridicule, mais en me^me temps j'avais une douleur dans la poitrine, et je pleurais.
Je me sentais mal? Peu être.
J'avais peur? Sûrement...Oui.
Los du dernier jeu, je ne me rappelle de quasiment rien, pour la simple et bonne raison que je me suis enfuis et que je suis mort(e).
Comme une lâche, dans un coin de chiotte, tout(e) seul(e). Sans personne, la peur au ventre, et lâche comme jamais. Je m'étais enfuis, j'avais courue dans le bâtiment, et m'étais fait(e) tuer.
Je ne m'étais réveillé que longtemps, très longtemps après. Avant ça c'était vide, le noir. Ou même pas. C'était exactement comme si j'étais mort(e). Et eux...
J'avais peur, je ne voulais pas "mourir" à nouveau, mais je ne voulais pas recommencer à être lâche. Je voulais les aider cette fois, faire quelque chose pour eux, leur permettre de survivre, autant que moi. Mais j'avais peur.
J'avais envie d'appeler à l'aide mais personne ne m'entendrait.
J'avais mal à la tête, les yeux plein d'eau, mais aucune larme n'avait coulée. Je tremblais aussi.
Alors je me passa un coup d'eau sur le visage, et partis me coucher sur mon matelas (et ouai c'est ça la pauvreté, y a un truc de camping pour chauffé les truc à manger, un lavabo à moitié pété, un miroir, et un matelas, ha! et mes amis les souries!).
A minuit, je me réveilla à cause de la vibrassions (d'ailleurs j'y penses, mais depuis quand j'ai assez d'argent pour un portable? Depuis quand j'ai un portable d'ailleurs? Ça à de bon coté de rêver finalement) de mon portable. Je ne dormais pas vraiment, mais c'était pareil. Je regarda alors le nouvel ordre.
Ouvris de grand yeux, et je ne sais pour quelle raison regarda par la fenêtre. Puis regarda à nouveau le téléphone. Avant de la balancer sur mon matelas en me relevant;

"Roi obsédé de merde!!!!"

Le lendemain, avec des cernes de trois mètres sous les yeux, et une tronche de zombie tétraplégique bourré, je me rendis au lycée. Je constata dés mon arrivé que tout le monde savait pour le nouvel ordre. Et je voyais bien que Kaze' n'était pas vraiment à son aise.
Avant que je puisse allé le voir, une fille l'avait accosté, et lui avait proposé (avec beaucoup de difficulté son aide), elle avait du courage la petite, heureusement...C'est pas tout le monde qui se proposerait pour ...ben ce genre de chose.
Bref, je m’assis à ma place, et me mis à contempler la fenêtre...Ma main tremblais.
Ils étaient morts...Pourquoi est ce que je ne pouvais m'empêcher de me dire que c'était ma faute?...

J'respire bizarrement. C'est la surprise, c'est tout, il faut que je me calme ! La peur ne me sauvera pas, mais j'ai encore la journée devant moi pour trouver une solution. Je serre les poings et, soudainement, me rend compte que l'on vient de m'agripper par le bras. La voix d'Emy Kane me propose une aide inespérément spontanée, mais bien que cela pourrait rendre ma vie plus longue, l'imaginer me flanque des frissons. C'est beaucoup demandé.

« Tu es sure de toi ? » Je n'ai pas vraiment envie de lui poser cette question, je devrais simplement en profiter.

J'reste comme ça un temps qui me semble être encore deux bonnes minutes sous sa prise, puis d'un geste un peu brutal, trahissant mon incapacité à me calmer, je me libère et m'en vais sans un regard.

Voilà ma pathétique réaction. Alors, Ichirouta, toujours prêt à clamer haut et fort qu'on s'en fiche, que ce jeu, c'est juste une vaste blague ? T'as bien vu que ça rendait les gens fous, alors t'as peur maintenant, c'est ça ? Mon pauvre.

Mais le temps passe et je ne m'enfuis plus ; L'école. La classe. Les élèves, ...
Après avoir fait un tour par chez moi, mon sac est bien plus chargé. Aujourd'hui, à l'école, j'ai pris la vieille caméra de mon père. Sans sa permission, mais il ne sera pas au courant, comme il n'est pas à la maison pendant trois jours. J'suis déjà un peu rassuré. En plus, j'ai réfléchis à ce que j'allais dire. Du coup, maintenant que j'ai tout le monde sous la main, j'prend la parole, le regard fuyant ;

« Vous connaissez mon gage, n'est-ce pas ? » Ma voix est assez forte que pour tout le monde l'entende. « Vous l'avez-vu. Et vous comprenez que je ne veux pas mourir. Alors j'aurais besoin de l'aide de deux d'entre vous. »

Pourquoi ? Ils le savent, hein. Mais j'suis un peu pudique avec mes mots. Même ma voix n'est pas aussi assurée que ce que je voulais. Normal. Je plisse les yeux. Je continue, malgré moi, avec le plus de détachement possible. Mon état de fatigue doit me creuser de légère cerne sous les yeux.

« S'il n'y a pas de volontaire ... »

Je respire, ferme les paupières, secoue la tête brièvement. Puis je les ouvrent de nouveau pour jeter un regard triste dans la direction de la brunette qui m'avait rattrapé tout à l'heure. Puis, je cherche plus clairement Endou de la tête avec cette même expression. Pas juste histoire de me rappeler que j'ai un véritable ami dans cette pièce et que je ne dois pas me mettre à trembler ... Mais surtout parce que je serais désolé de le décevoir.

« Ne m'obligez pas à faire ça. » Dis-je un peu plus bas, mais toujours de manière audible. « Je ne suis pas ce genre de personne, mais je n'aurais pas le choix. »

Le message disait qu'il fallait que je film deux personnes, je n'étais pas certain d'être compris dedans. J'avais peur de prendre le risque, mais j'aviserais si je n'ai plus le choix, car j'étais à peu près sur qu'il n'était pas question de consentement - surtout en vue des goût pervers et tordus du Roi ! - et parce que je peinais un peu à voir comment forcer deux autres personnes à se livrer à un tel acte totalement contre leur gré. Je veux dire, ça ne marche pas comme dans les yaoi de Kurohime la vrai vie, n'est-ce pas ?

Kazemaru, qui semblait ne pas vouloir mourir, ce qui, je pense était naturel venant d'une personne normale, pris la parole pour demander de l'aide. Au début, je comptais attendre de voir s'il venais me la demander personnellement, mais vu qu'il ne le fit pas, je me décidais à me proposer. En continuant de l'écouter, j'entendis.

« S'il n'y a pas de volontaire ... »

A ce moment-là, je me mis à lever doucement la main en signalant ma présence.

" Moi, je suis volontaire pour t'aider ! C'est normal, vu que tu m'as aidé quant j'en avais besoin, je peux bien faire quelque chose en retour. "

J'étais affalé sur ma table, les bras croisé, me servant de ceux-ci comme coussins, j'étais vraiment crevé, mais au moment où j'allais m'endormir pour la première fois depuis un bon moment; Kaze' avait pris la parole. On l'avait écouté, et je dois dire que la tête qu'il faisait à cet instant était assez drôle, mais en même temps j'avais peur pour lui.
Il fuyait du regard, avait surement envie de se "réveiller", mais bon désolé Kaze' ça risque de prendre du temps...malheureusement.
Heureusement pour lui Yuna c'était proposé, elle aussi elle avait du courage... Moi je n'en avais pas, pas une once de courage...
C'était quoi mon problème? Kaze' ne méritait pas de mourir, même Ouma ne le méritait pas selon moi, alors pourquoi, pourquoi bordel de merde, je me défilé comme ça?
Ce roi était vraiment un sale pervers!

"Et où tu comptes filmer ça Kaze'? Tu risques d'alerter ta famille, ou tes voisins si tu le fais chez toi non?"

Je respire.

"Si tu veux tu peux filmer chez moi, c'est tout petit et plein de poussière, mais y pas de voisins à alerter vu que le bâtiment est trop merd- pourrie pour que des gens daignent y habiter...A par moi"
Au loin dans ma tête j'entendais résonner un; clochardddddddddddd !

"Manque plus qu'une personne et t'es en vie..."

L'intervention de Kakure éclaire mon regard. C'est vrai, je n'ose pas lui dire que je suis seul chez moi et qu'il n'y a rien à craindre pour ma famille ... Se résumant à mon père, enfaite, mais je n'ai pas vraiment envie de faire ça dans un endroit qui m'est si familier que ma propre demeure, du moins si j'en ai l'occasion.

J'affiche un frêle sourire, mais en réalité, j'ai juste envie de leur sauté au coup pour les enlacer. Tout va bien ce passer alors ... Tout va bien. Oui, je ne suis pas encore foutu ! Mon coeur est déjà un peu plus léger. Mais je ne suis pas encore totalement tiré d'affaire. Loin de là !

« Merci ... » Je souffle en hochant la tête.

Qui, quoi ? Comment ça va se passer ? Je n'ai pas envie de faire ça et pourtant je voudrais en avoir finis vite ; Embarquer les concernés par les poignets et courir comme je le fais si bien jusqu'à l'endroit prévu. Ma seule iris visible se reposant de nouveau sur Endou, une bien drôle de pensée me frôle par contre, et pour l'illustrer, je me surprend même à soupirer d'aise quand au fait qu'il ne se soit pas proposé comme vedette de mon film au côté d'une demoiselle de la classe.

Au pire, si il n'y a pas d'autre volontaire, en plus d'être cameraman ... Je serais bien obligé de m'improviser acteur.
Gloups. Le feux me monte aux joues.

Je le regard après qu'il nous ai tous demande et je lui dit sur un ton un normal :

-Je t'ai déjà propose mon aide et je suis sur de vouloir t'aidé même a en perdre la vie... Du moment que se sois pas toi mais moi ça me confiant.

Je sais pas si il allé comprend ma réaction mais je le regard toujours et un petit sourire s'afficha a mes lèvres je m'en fiché un peu avec qui j'allé faire ça m'ai du moment que personne meurt sa me convenait a merveille Kakura avait proposé a Kaze' de lui prêté son appart tout allé mieux il reste plus qu'avoir une personne ...

Le temps passe, toujours trop vite, surtout dans ce genre de cauchemar. Et les incidents qui n'arrive jamais d'habitude se produise souvent dans ces moment là. La caméra ne voulait pas démarrer, obligeant tout le monde à chercher un autre moyen pour filmer, alors que le temps était déjà bien entamé. Et avant que quiconque s'en rende compte, la nuit était tombée, et le premier SMS arriva à 23h55 :
5 min restantes
Les secondes s'enchaînèrent. Trop vite.
Et Minuit sonna, accompagné de sa vibration habituelle.
L'élève numéro 8, Kazemaru Ichirouta, est condamné à s’immoler pour ne pas avoir exécuté les ordres du roi.
Comment ça, à s'immoler ? Mourir par le feu, c'est ... Quel est ce bruit ?
A peine une quinzaine de minutes plus tard, une file de camion rouge, brisant la nuit de leur sirène bruyante, filèrent à toute allure. Kazemaru était rentré chez lui pour chercher le chargeur de la caméra et ... Il habitait dans cette direction !
Ceux qui se précipitèrent cette nuit là vers chez lui purent voir sa maison disparaître lentement, avalée par les flammes. A la fin de la nuit, la seule chose que ressortir les pompier des décombres, c'est un corps complètement calciné et méconnaissable.
Mais après le SMS de mort en avait suivit un autre. Encore un :
"Ordre n°6 : L'élève numéro treize, Takanashi Shinobu, et l'élève numéro quatorze, Takanashi Akihito, doivent jouer à pierre, papier, ciseaux.
Le gagnant aura pour gage de choisir la manière dont mourra le perdant. "

Que le jeu continue ~

On avait réussit à trouver un endroit pour filmer, à trouver deux personne volontaires.
Même si c'était deux filles, le "roi" n'avais pas précisé si ce devait être un garçon et une fille ou pas, donc Yuna et Emy auraient pu sauver Kaze'.
Il avait l'air soulagé, il... La caméra?

De quoi il parle? Comment ça la caméra? Elle ne marche plus, plus de piles?
C'est quoi cette sensation, sa tourne légèrement, il ...il...J'ai un très mauvais pressentiment.
Pourquoi?
Le SMS?... Il va...Dans 5 minute?
Je m'appuie au mur de ma chambre de bonne, toutes les personnes aidant Kaze' et d'autres ayant voulue accompagné pour voir si tout se passerais bien sont là.

Je glisse le long du mur, bon sang j'ai vraiment mal au crane!
Paniqué il est partie en courant pour récupérer des piles chez lui.

Je me suis relevé au bout de quelques minutes, et suis partie en courant après lui.
Je tangué légèrement, et au bout de quelques minutes dans la rue, je me suis mis à marcher très lentement, puis au moment où je pensais que j'allais tomber dans les vapes mon portable vibra;

Mourir immolé? Haha...ha...C'est...c'est une blague n'est pas?...Une blague pourrie hein?

Je riais nerveusement, des tics nerveux parcouraient mon corps, et déformaient en partie mon visage.
Bon sang, ressaisie toi!
Je secoua la tête, quand j’entendis le bruit des camions de pompiers passer à coté de moi.
Quoi? Attends, attends,attends!

C'est pas...non!
Je me mis à courir, mon crane me faisait souffrir, et je trébuchais, j'avais peu être tout simplement de la fièvre et je délirais?...N'est ce pas?
Ça expliquerait les flammes, tout ce feu...Les pompiers faisaient ce qu'il pouvait, mais ils étaient débordés.
Ha, un moment je crue entendre un crie venir de la maison en flamme, et cette voix peu être...
Ça ne pouvait être sa maison, ce serait absurde, ce serait...

Ils sortirent quelqu'un...Ou plutôt quelque chose... Je m'approcha le plus possible.
Qu'est ce que c'était?
Qui était ce ?
J'avais l'impression de passer à coté de quelque chose, volontairement...Pour me protéger, encore une fois...
Je ne pouvais pas vraiment croire que c'était lui...Il n'y avait aucune preuve...Je ris nerveusement encore une fois... C'était faux, ce n'était pas... La chose tenait quelque chose, il le serrait fort, comme si...Je pue deviner ce que c'était...Le caméscope qui aurait pu lui sauver la vie...Il s'y accrochait encore, c'était ridicule...Ridicule, tout ceci était ridicule.
Je rie à nouveau, mais cette fois mon visage n'était pas en accord avec ma voix, mes genoux me lâchèrent, et pour la première fois depuis le début, non depuis des années, ce liquide coulait de mes yeux.
C'était faux, fou...Ce monde était fou...Détraqué, complètement fou, et hors de la contrôle de la logique...Un cauchemar, tout simplement, et d'une certaine façon c'est logique.
Alors pourquoi je pleure?

Et pendant ce temps, mon portable vibra à nouveau.

Kazemaru : Mort.
Ouma : Mort.
Touko : Morte.
Tori : Morte.
Enfin...Selon ce qu'on m'avait dit.
Merde à la fin. Qu'est ce qu'on y pouvait... Qu'est ce qu'on pouvait y faire ? On était tous condamner à mourir, les uns après les autres... Fuck. Et à quoi ça aurait servit hein ? À quoi ça sert de mourir pour rien ? Pour servir la mégalomanie d'un mec qu'on ne connait pas... On ne sait même pas qui c'est ce roi.... Même le destin était contre nous... Alors que tout allait bien, que Kaze' allait être sauvé... Ils ont tous reçu un SMS... (Mon téléphone étant toujours mort, son cadavre au fond de ma poche.)
"5 minutes..."
Ils murmuraient. Ils chuchotaient. Mais était-ce la réalité ?

Plus de pile. La caméra ne marchait plus.

Les sirènes. Les pompiers. Le feu. Ce garçon aux cheveux violets qui pète les plombs et sort en courant... Tous, toujours, leurs portables à la main... Et moi dans tout ça ? Par un accès de rage, de colère, j'avais casser mon portable... Je ne pouvais plus suivre le jeu... Par un accès de lâcheté... J'avais tuer Kazemaru... Si j'avais lever le doigt... Tous aurait bien finit ... Mais une sorte de pudeur pudique, avait paralyser tous mes membres... Et j'étais rester assis.

Un nouveau concert de vibrations résonne... Nouvel ordre... Qui dit qu'il n'est pas pour moi cette fois ? Je m'approche de cette fille qui m'avait aider la dernière fois, et qui avait proposer son aide à Kazemaru... Emy je crois... Elle n'est pas bien... Mais moi non plus... Il faut que je sache...
"Excuse-moi... ? Quel est l'ordre cette fois-ci ?"

On va tous crever et on ne peut plus rien y faire

Que penser d'autre de l'avenir ?

Quand je vient le SMS je commençais a me crispé les larmes sortis toute seule de mes yeux sans même pour voir me contrôlé je m'éclata en larme. Je vit tout le monde avec leur téléphone a la main j'étais contre le mur et je ne voulais parlé a personne je me refermé petit à petit sur moi. Pour une fois que j'allé être utiles et bah Kaze' était obliger de mourir. Kogure se rapprocha de moi alors que j'était entrain de me refermé sur moi avec les larmes qui coule. Il me posa une question et c'était :

-Excuse-moi... ? Quel est l'ordre cette fois-ci ?

Je lui répondit avec une petite voix et les yeux avec les larmes qui coulé toujours :

-Ordre n°6 : L'élève numéro treize, Takanashi Shinobu, et l'élève numéro quatorze, Takanashi Akihito, doivent jouer à pierre, papier, ciseaux. Le gagnant aura pour gage de choisir la manière dont mourra le perdant.

Je m'assis par terre et je mit mes mains devant mes yeux. Je ne voulais pas parlé après ça j'avais dit ma dernière phrase avant un bon moment je risquer de resté "muet" pour plus d'un jour sur. Je ne voulais pas qu'il y ai plus de mort 4 mort c'est déjà pas mal. Il fraudais en parle au Roi mais pour ça il faut bien trouvé qui c'est parce que ça ne vas pas être facile de trouvé qui c'est parce que l'on sais que chaque personne qui est dans cette pièce peut être le Roi. Je ne sais pas pourquoi mais je croix que les personnes qui on déjà eu leurs ordres sa ne pouvais pas être eux. Je pense que l'on dois se méfier de tout se qui non pas eu leurs ordres. Je me secoua la tête comme je pourrais hésité de Aurore et Kogure ils sont tout les deux super gentil ! Je releva la tête et prit Kogure contre moi je sais même pas pourquoi j'avait réagit comme ça. Je tenais peut-être a se que Kogure reste en vie c'est peut-être ça.

Quand j'avais vu l'ordre, j'avis rougi, et plains la personne concernée. Puis comme pour tous les autres, j'ai eu peur pour le pauvre Kazemaru, quand nous avons des soucis avec la batterie. Puis y'a eu ce message, annonçant la mort de Kazemaru, je me suis sentie mal, et m'appuya sur une table. On était tous rester en classe, alors on vit tous le SMS contenant le sixième ordre arrivait.
Que je le lu, une brusque envie de vomir me pris. "Ordre n°6 : L'élève numéro treize, Takanashi Shinobu, et l'élève numéro quatorze, Takanashi Akihito, doivent jouer à pierre, papier, ciseaux.
Le gagnant aura pour gage de choisir la manière dont mourra le perdant. "

Je découvrais mon chiffre pour la première, et dire, que je pensais que ce chiffre était mon porte-bonheur. Je pense que j'avais tort.
Je suis sur le point de m'effondrer. Mes yeux me brûlent, les larmes emplissent mes yeux. Je m'étais laissait glissé par terre. Je me relève d'un coup, et je sors de la classe en courant, et en claquant la porte derrière moi.
Il faut que je me calme le plus vite possible. Il aussi vite que mon frère sorte de cet enfer, ma décision est prise. Si je le pouvais je tuerais mon petit frère.

Soudain l'horreur de la situation me remonta à la gorge, et je vomis, le peu de chose que contenant encore mon estomac.
J'étais Fatiguée, Malade, Triste, mais Déterminée à sauvée mon frère de cet enfer.

Je tenais mon téléphone à bout de bras. C'en était presque douloureux. Au dessus de ma tête, mon téléphone affichait le sms que je venais de recevoir.

Ordre n°6 : L'élève numéro treize, Takanashi Shinobu, et l'élève numéro quatorze, Takanashi Akihito, doivent jouer à pierre, papier, ciseaux. Le gagnant aura pour gage de choisir la manière dont mourra le perdant.

Quelle horreur. Et Kazemaru était mort. Immolé. Ça me donnait la nausée. Je n'étais pas allé au lycée la veille à cause de ma main. J'aurais peut-être dus y aller. J'aurais peut-être été utilise. Il ne serait peut-être pas mort. Trop de peut-être qui se bousculent dans ma tête. Je pose l'appareil, me lève et me prépare. Il fait nuit. Il est à peine minuit passé. Tant pis, ils doivent être au lycée. Ma main me fait horriblement mal. Enroulé dans un bandage aussi blanc que ma peau, je peux à peine la faire bouger. Et ça me fait trop mal pour que je le fasse. J'étais certes résistante, mais un trou dans la main est inignorable. En quelques minutes, je suis prête, et m'apprêtai à sortir de ma chambre, lorsque mon regard tomba sur un vase sur la petite table de la chambre. Un vase que je n'avais jamais vu. Remplie de coquelicot et de chardon. Mes yeux se fermèrent d'office, me remémorant les coutumes Anglaises. Coquelicot. La Fleur des morts, ceux qui avaient péris pendant les guerres. Chardon. La fleur porte bonheur Ecossaise. Après tout, j'étais Ecossaise. mais quant est-ce que ces fleurs étaient apparus là? Le jeu. C'était le jeu. Je prit un chardon dans mes mains, que je mit à ma boutonnière, un coquelicot au creux de ma main courbée pour ne pas l'abîmer, et sort de ma chambre. Snow n'est pas là. Il s'absente souvent. Mais je sais que ce n'est pas pour ça qu'il est absent. J'ai l'impression de ne pas connaitre ceux qui sont au pensionnat. Pourtant je les connais tous de vue. Je passe devant la chambre d'Akihito, et pose ma main blessée dessus. S'entre-tuer avec sa soeur. Quelle fin...immonde. Il ne dormirait peut-être plus jamais dans cette chambre. Ou il tuerait sa soeur. Je me demandais si il était capable de le faire. Fermant les yeux, je retirai ma main et continuai mon chemin jusqu'au lycée.

Les flammes sont immenses. Les pompiers sont présents, tentant de stopper l’incendie. A quoi bon? C'est trop tard. Personne ne peut contredire les ordre du Roi. Je me retourne, refusant de voir le corps calciné de mon camarade. Ma cheveux se confond avec les flammes lorsque je prend un autre chemin.

D'un coup, j'ouvris doucement la porte coulissante, sans pour autant entrer dans la pièce. Plusieurs personnes étaient présentent, mais pas tous. Touko, Kazemaru, Shu. leur absence formait un vide presque palpable. La pièce est illuminée par la lumière, mais la nuit se reflète sur les fenêtres. Le silence règne. La peur règne. Le Roi règne. Je fixe la place vide de Kazemaru, mes yeux refletants tout à coup la plus grande tristesse que je soit capable d'exprimer. Et dire que la dernière fois que je l'avais vu, il m'avait empêché de continuer dans ma folie meurtrière, m'en sortant avec une main percée. Je baisse les yeux vers cette dernière. Une sorte de...souvenir? Quel horrible souvenir. J'aurais préféré de jamais l'avoir.

Au bout de quelques secondes, je rentre tout de même dans la salle, avant de me retourner pour fermer la porte de ma main gauche. Assise par terre, près du mur, je remarque Emy, terriblement bouleversée. Il y avait de quoi. A part Sophie, suis-je la seule à ne pas m’effondrer physiquement? Je comprenais facilement les autres. Endou, Sophie, Umi et moi sommes les seules survivants du jeu précédents. Sophie est insensible extérieurement, toujours fidèle à elle-même. Je ne vois ni Endou, ni Umi. Quant à moi...j'étais fatiguée de jouer. Je ne voulais pas mourir, non. Mais quelque part, j'avais vu trop de mort pour éprouver cette immense tristesse que les autres éprouvent à chaque fois. J'étais peut-être la seconde plus solide du groupe. Du jeu. Quant au Roi... Dis-moi, Roi. Es-tu triste? Joues-tu la comédie? J'espère que ce jeu est amusant pour toi. Qu'il vaut la peine de tuer tant de gens pour ton simple plaisir personnel. Je sers la mâchoire à cette pensée.

Mon regard se relève vers Shinobu. Celle qui doit tuer ou être tué par son petit frère. A y réflechir, j'aurais préféré que cette situation tombe sur moi. Tuer mon grand frère...c'était son rêve. Peut-être qui j'en étais capable. Ce n'est pas comme si j'éprouvais de la sympathie pour lui. Alors qu'au contraire, Akihito et Shinobu était super liés. Je ne savais pas comment ils pourraient faire. C'était comme si je devais tuer Snow. Je préférais même ne pas y penser. Shinobu se leva alors, me sortant de mes pensées, et s'enfuit de la salle en courant, me frôlant à peine. Je fermai les yeux quelques secondes, avant de m'avancer vers ma table, et d'y toucher le bois qui la composait. En espérant que la chance soit de mon côté. Après tout, avec le Coquelicot et le Chardon, c'était une question de tradition. Je regardai la petite fleur au creux de ma main, et fit quelques pas vers la table vide de Kazemaru. Au centre du bois, j'ai déposai doucement la fleur, en murmurant.

« Reposes en paix. Tu vois, j'ai amené un Coquelicot. C'est une tradition anglaise. Pour que tu... »

Les mots ne franchirent pas mes lèvres. A la place, des larmes roulèrent sur mes joues, alors que je souriais. Ah, je vois. Je n'avais pas finis de pleurer, alors?

HRP
désolé ;W; j'étais pas inspirée avant >O<

J'avais ressus l'ordre de Kaze' mais je n'eu pas le courage d'aller le voir ou quoi que se soit . J'étais contre un dés murs du bâtiment, pas loin de l'entré , assise au sol , la tête dans les genoux et je tremblais ... J'avais peur et j'étais dégouté aussi ... J'avais fais un asse gros effort pour ramener l'ambulance ... Mais tous sa pour quoi ? Pour deux mort en plus . C'est vraiment injuste , ce jeu c'est de la pure folie , mais quel être peut être aussi barré et sadique ... ? J'espère ne jamais l'avoir en face de moi . J'en tremble rien que dis penser . Mais après dans un sens je l'ai peut être déjà rencontré , oui c'est peut être un des élèves , Mais alors , je ne peut pas avoir totalement confiance en quelqu'un . Je sentis mon portable vibrer , je regarda le message "5 min restantes" Je regarda alors l'heure et je remarquas qu'il étais déjà 23h55 , J'ai passé autant de temps que ça assise ici à déprimer ? Je remit mon portable dans ma poche et je vis Kazemaru sortir en courant du lycée suivis de Kakure . Je me releva et les regarda partir , il y a peut être un problème avec la camera ou un autre problème du même genre . Je décidas alors de les suivre , même si je les ais déjà perdus de vus . Je ne courrais pas , car je suis fatigué à cause de l'ambulance qui pouvais pas bouger et que je suis aller chercher en trainant Kakure .

Mon portable vibra à nouveau , je le resortis . "L'élève numéro 8, Kazemaru Ichirouta, est condamné à s’immoler pour ne pas avoir exécuté les ordres du roi." Ho non ... Pas encore , non !! Je refuse ! Je rangea vite mon portable et me mis à courir mais pas à fond malgrès moi . Quelque minutes plus tard , des camion de pompier passaient , juste à cotè de moi et ils prenaient la même direction que les deux autres ... J'ai un pressentiments extrêmement mauvais ... une bonne dizaine de minutes plus tard j’arriva à une maison qui avais pris feu , Kakure étais là et il se rapprocha d'un pompier qui tenais un corps calciné . Impossible de dire qui sa pouvais être . Mais je le compris vite en voyant Kakure s’effondrer sur ces genoux et pleurer à grosse goute . Je me sentis mal très mal ... ces comme si mon cœur se ressaierais sur lui même . Je décida de me rapprocher de Kakure et mis un genoux à terre à côté de lui mais avant que j'ai pus lui mettre ma main sur son dos mon portable se mirent à vibrer , je le ressortis pour la troisième fois "Ordre n°6 : L'élève numéro treize, Takanashi Shinobu, et l'élève numéro quatorze, Takanashi Akihito, doivent jouer à pierre, papier, ciseaux.
Le gagnant aura pour gage de choisir la manière dont mourra le perdant." Mais ils ne sont pas frère et sœur ces deux là ?! Une larme coula de mon œil . Je refermas mon portable et le rangeas à nouveau dans ma poche . Et posa une main réconfortante ou du moins je fesais se que je pouvais , sur le dos de Kakure et le regarda les yeux humide , j'avais envie de pleurer aussi mais je n'y arrive pas , ça aussi c'est horrible , je veut dire de ne pas pouvoir pleurer un bon coup pour se sentir un peut mieux après ...

Attention, il reste. 24h ~ Et le roi n'a toujours pas était démasqué, qu'attendez vous pour essayer de survivre ? Je vous conseil de vous poser les bonnes question ~

Je voulais crier. Je voulais pleurer. Je voulais cesser. Oui c'est ça. Je ne voulais plus.
[center]J'EN AVAIS ASSEZ DE ME BATTRE
Trop de mort, tue la mort... [size=8]( sans mauvais jeu de mot hein Sil' )
En plus, je viens de tilter... Ils sont pas frère et soeur ? C'est moche. Nan sérieux. J'dis ça mais j'le pense pas... J'suis degueulasse. Tant que c'est pas moi qui crève je... J'suis même pas sûr d'être vraiment triste pour la mort de Kaze.... Pourtant j'le connaissais putain ! C'edt ça qu'on appelle l'instinc de survie ? ...
J'impterromp le flux glauque de mes pensées alors qu'Emy me prend dans ses bras. ( Je suis toujours pas certain de son nom).
Gloups... Je ne peux m'empecher de rougir un peu... De surprise... Oui... Exactement. De surprise...
Mais pourquoi fait-elle ça ? Je... Elle pense peut-être que je suis gentil........ C'est faux.... Kogure Yuuya n'est pas gentil...
Je veux bien, qu'on dise que je suis méchant, que je suis une peste.... Mais pas que je suis gentil... Surtout pas...
Je me dégage plus brusquement que je l'avais prévu.
Je soupire...
- Il faudrait peut-être s'activer non ? Vous avez peut-être envie de rester ici, vous faire tuer par le roi mais pas moi... Je sais pas encore comment je vais mis prendre... Mais je le trouverais...
Sans attendre la réaction d'un de mes camarades, je sors de la classe, monte sur le toit et commence à crier. i mais pas moi... Je sais pas encore comment je vais mis prendre... Mais je le trouverais...
Sans attendre la réaction d'un de mes camarades, je sors de la classe, monte sur le toit et commence à crier.

Je me suis calmé après l'arrivé de Aurore, du moins je crois.
Je suis rentré chez moi, et eu une rire nerveux en apercevant mon matelas qui aurait surement servit à autre chose si...
Je me laissa tomber dessus, fiévreux(se), vidé, et par dessus tout...Tremblant, et au bord de la folie.
J'avais essayé, mais j'avais été lâche encore une fois, et lui...même après sa mort, il tenait son caméscope en main, comme si ça pouvait encore le sauver, j'aurais pu le sauver, j'aurais pu, mais je n'ai rien fait... Pourquoi?!

Au fond, la mort en rêve n'était peu être pas si mal, même si elle était effrayante...Je posa mes mains sur ma gorge, et serra, mais je les enleva vite.
Non, je ne voulais pas, j'avais encore trop peur, il ne me reste plus que ça pour me raccrocher à cette réalité étrange...
Protéger les survivant? J'allais essayer, je ne voulais plus les abandonner.
Survivre? Plus que tout. Je ne voulais pas mourir, pas encore...Voir quelqu'un mourir m'était insupportable, mais il n'était pas question que je meurs...Non!

Pour la première fois depuis qu'il avait vibré, je jeta un oeil au nouvel ordre...
Quoi?!

C'était...Il ne sont pas de la même famille?
Mais non, c'était...Pourquoi?
Pourquoi? Il ne valait mieux plus se le demander.
Je protégerais les vivants hein?

Je lendemain, c'est des cernes encore plus grande sous les yeux, et passablement un regard vide, et une bouche close que je me dirigea vers le lycée.

La première chose que je fis, (après avoir vu partir le na- Kogure à moitié en pleur de la salle) c'est monter sur une table, ça fait deux fois quand même! Et diriger chercher du regard les deux concernés par l'ordre, avant de m'adresser à tout le monde;

"Ce soir nous tuerons le roi."

Je frissonna à la vue de ce SMS. La peur me pris à la gorge, j'avais peur de mourir, mais plus peur encore de perdre ma soeur. Je vois ma soeur, qui glisse sur le sol, puis part de la classe en courant. Je me précipite à la fenêtre, elle est dans la cour en train de pleurer. Les larmes menacent aussi de couler sur mes joues. Je sors de la salle, en chopant au passage la main de cette fille aux cheveux bruns et aux yeux bleus. Aurore je crois. Je l’entraîne dans la cour avec moi.
Je rejoins ma soeur et m'adresse à la fille.

- Tu seras notre arbitre. Ça te va ? Pour être sur qu'il n'y est pas de tricherie.

Je vois mon frère qui arrive vers moi, avec une autre fille. Je comprend ce qu'il veut, que l'on en finisse au plus vite avec cette histoire sordide. Je suis parfaitement calme, je tends la main vers mon frère, regarde la fille que mon frère à amener, met ma main en avant, et dit.

- Pierre, feuilles, papier, ciseaux !

Je tends la main d'un coup et sors un ciseaux.

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Event : King's Game

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