-Tachimukai, on mange!
J'entends ma mère qui m'appelle, en bas. Je suis dans ma chambre, et j'étais en train de jouer au échecs. Je suis actuellement en vacances et dehors, la pluie tombe. Je me relève, tranquillement, en regardant par ma fenêtre. J'aime bien la pluie, mais actuellement , cela me gêne pour mon entrainement. Du coup, je suis coincé à l'intérieur de chez moi. Je descend les escaliers pour rejoindre ma mère, dans le salon. Je l'aperçois, à table, avec mon père, en train de regarder un carte, posé à côté de son assiette.
Je m'assoie, me sers un peu de salade, et demande:
-Vous regardiez quoi? Un endroit pour partir pendant les vacances?
Je commence à manger, sauf que je recrache presque ce que j'ai dans la bouche en entendant la réponse:
-Nous avons penser à t'envoyer à Tokyo pour ces vacances, pour que tu puisses retrouver tes amis de Raimon.
-Hontōni? Ce serais génial! En plus, à Tokyo, il fait beau en ce moment, je pourrai m'entrainer avec Endou-san!
-Nous pensons t'y envoyer quelque jours. A pars si tu as quelque chose à faire de très important?
-J'aimerai y rester au moins une semaine, s'il vous plait! J'aimerai pouvoir m'entrainer avec tout le monde!
Mes parents se regardent, réfléchissent, un moment et finalement, mon père me répondit:
-Bon ok, mais tu nous envoies des messages tout les jours, ok? Je vais te donner une certaine somme d'argent, tu n'auras que ça, alors ne dépense pas tout en un instant. Pour le logement, essai de demander à un ami. Sinon, je pense que tu as aura assez pour louer une chambre. Un train en direction de Tokyo part demain matin. Fais tes affaires ce soir et demain matin, tu pars de bonne heure. Pense à ne pas te coucher trop tard ce soir.
-Oui Papa!
Je termine de manger et fonce dans ma chambre. Je sors mon sac, y met des plusieurs habits: 5 tee-shirt, 3 jeans, 2 pulls, des caleçons, 2 survêtements de sports...Je pense que c'est tout...? Hum...Un jeu d'échecs, peut être...Allez! Je prends de quoi me laver aussi! Je suis propre tout de même! Mon sac fait, je me met immédiatement au lit, bien que l'envie de crier comme un fou mon bonheur me tente beaucoup. J'essai de me calmer, quand l'image de quelqu'un qui m'est cher me traverse l'esprit, et j'arrive enfin à m'endormir, un sourire aux lèvres.